Les gens me demandent "quoi de neuf ?".
Enfin les gens... des gens que je connais et que je recontre me posent la question.
"Quoi de nouveau dans ton existence ?"
Je travaille, alors forcement il n'y a rien de nouveau dans mon existence.
Les journées laborieuses se succédent en attendant les week-ends inactifs, et ainsi de suite. Je vous en ai déjà fait part chers lecteurs.
Alors parfois je fais un effort et je parle ... je parle de mon boulot.
"Mon administartion centrale va imposer çi ... On vas mettre en oeuvre la réforme mi ... La direction m'oblige à ..."
Quelle misére !
Ma vie est misérable. Non pas financiérement (quoique plus je travaille moins j'ai d'argent), mais du point de vue de l'exceptionnel.
Rien n'arrive. "Dans la vie tout peut arriver et surtout rien", disait le bon Michel.
Et bien voila je suis une démonstration.
Incapable de saisir les espaces de "liberté" dont je bénéifice.
Je commence à ne vivre que lorsque je suis en couple. Lorsque ma douce est de passage dans la région, là je me bouge, principalement parceque ça lui fait plaisir.
Mais seul, je n'en ressent pas le besoin.
Paradoxe amére, je pose une constat comme "misérable", mais je m'y complais.
En deux jours de week-end, je n'ai fait que passer du temps devant un écran...
J'ai vu un ami, mais de quoi lui parler en dehors du boulot ...? Ce qu'il se passe sur mon écran ne l'intéressera pas, ça ne m'intéressé déjà pas vraiment.
Misérable, incapable et complaisant.
Quel beau portrait !
lundi 30 mars 2009
Metro, boulot, robot
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lundi 23 mars 2009
La reprise
Voila de retour à "mon poste de travail".
J'ai vérifié mes e-mails professionnels, j'ai consulté, classé, ranger mon courrier papier.
Je suis ensuite allé sur la page d'accueil de mon logiciel professionnel pour y vérifier mes 7 pages de taches.
J'en ai réalisé certaines, j'en laisse pourrir d'autres.
Dans la journée, j'ai fait quelques entretiens, dont un de presque 2h.
Et là, maintenant, j'ai plus envie. Plus du tout.
J'ai encore plein de trucs à faire, du boulot j'en ai de toute façon plus que ne je peux en faire.
Mais là raz le bol.
Robot Vasco passe en mode blog.
Alors je vous écris chers lecteurs (oui vous 3). Mais pour vous raconter quoi ?
Ah oui tiens. Ce midi j'ai déclaré à mes colléges que j'étais favorable au systéme de caste en Inde.
Principalement car ils étaient tous d'accord pour dénoncer ce systéme "honteux". Alors comme je ne supporte pas la pensée unique (et bien pensante), je me suis mis à critiquer l'avis générale.
Parce que j'estime que de toute façon dans nos sociétés l'ascencion sociale n'existe pas, alors autant définir le rôle de chacun au début, une bonne foi pour toute, et éviter toute illusion.
Et éviter toute culpabilisation aussi, du genre "quand on veut on peut", "on peut réussir sa vie".
Tout ça c'est du vent. Vous êtes fils d'ouvrier, et bien vous serez ... employé de bureau ou commercial. C'est pas de l'ascension sociale, c'est la mutation du marché du travail. La masse laborieuse reste la masse laborieuse.
Vous êtes fils de patron ou de médecin ou d'avocat ou cadre, vous serez sensiblement la même chose (dans la même catégorie en gros).
Bon nous on a plus la caste des prêtres depuis récemment ... c'est la seule différence.
D'ailleurs les études historiques montrent que cette organisation sociale, nous viens du moyen-âge, et que celà est liée au grande invasion indo-européenne. Vous concluez de vous même, qu'en réalité nous avons la même organisation sociale.
Tout ça pour dire quoi au fait ... Ben qu'en faisant de la provocation gratuite pour faire chier mes collégues "progressistes", j'en suis arrivé à leur démontré qu'ils se berçaient d'illusions sur notre organisation sociale.
Et ça, ça fait plaisir.
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samedi 21 mars 2009
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vendredi 13 mars 2009
Les congés
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Libellés : congés, états d'âme
lundi 9 mars 2009
Un jour sans fin
Publié par VascoVince 1 commentaires pertinents
Libellés : état d'âme, un jour sans fin